Votre 1er entretien téléphonique gratuit

Je vous propose un échange téléphonique gratuit de 15 mn, au cours duquel je vous présenterai les grands principes de la sophrologie, ainsi que l'organisation et les modalités d'un suivi sophrologique individuel.

Fatigue malgré le sommeil

Pourquoi êtes-vous fatigué(e)… même en dormant assez ?

Vous avez la sensation de bien dormir, et vous faites attention à votre hygiène de vie, autant que faire se peut. Vous essayez de lever le pied régulièrement. Et pourtant, cette sensation de fatigue, voire d’épuisement ne vous quitte pas vraiment. Derrière une fatigue qui s’installe, il n’y a pas toujours un manque de sommeil.
Alors pourquoi êtes-vous fatigué(e), alors que vous avez l’impression de dormir assez ? Parfois, c’est simplement que le repos que vous vous accordez ne répond pas aux besoins profonds de votre corps, de votre système nerveux, ou de votre vie émotionnelle. Alors, même si tout semble en place sur le papier, il est possible que vous n’arriviez pas à pleinement récupérer, à bien recharger vos batteries. Et ce n’est pas une question de volonté, mais plutôt d’équilibre à (re)trouver.

Dormir ne suffit pas toujours à récupérer

Le sommeil est une base essentielle du repos. Mais il ne constitue pas à lui seul un antidote à la fatigue chronique, surtout lorsqu’elle est liée au stress, à la surcharge mentale, ou à un état de tension prolongée.
D’après l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), le stress agit directement sur le système nerveux autonome, en surchauffant durablement le système sympathique – celui de l’action, de la vigilance -. Tant que cette activation reste élevée, l’organisme ne parvient pas à basculer en mode “repos-récupération”, favorisé par le système parasympathique.
Le CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique) le confirme dans plusieurs publications : un cerveau soumis à une charge cognitive intense continue de fonctionner en arrière-plan, même pendant les phases de repos. Les pensées tournent, les tensions demeurent. Le repos devient alors superficiel, voire illusoire.
Et pour l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), l’épuisement émotionnel, quand il devient chronique, constitue l’un des marqueurs majeurs du syndrome d’épuisement professionnel, reconnu depuis 2019. Ce type de fatigue ne disparaît pas avec une nuit de sommeil.

Tous les repos ne se valent pas

Il existe différentes formes de repos, mais toutes ne comblent pas les mêmes besoins. Lorsque l’une d’elles est négligée, la fatigue s’accumule en silence. En voici trois qu’il est utile de distinguer :

  1. Le repos physique
    C’est celui auquel on pense en premier. Il passe par le sommeil, bien sûr, mais aussi par le relâchement musculaire, des pauses dans la journée, ou une posture confortable. Le corps a besoin de s’arrêter. Et parfois, simplement de ne plus “tenir” quelque chose.
  2. Le repos mental
    Le cerveau humain traite des milliers d’informations chaque jour. Lorsqu’il est constamment sollicité, il a besoin de véritables coupures cognitives : → ne rien planifier, ne pas être interrompu, laisser les pensées se poser. Le silence, l’ennui ou la méditation ne sont pas du temps perdu. Ce sont des ressources.
  3. Le repos émotionnel
    C’est souvent celui qui est oublié, négligé. Quand les émotions sont contenues en permanence, le corps les porte à votre place. Cela se traduit par une sensation d’oppression, de saturation ou d’irritabilité sourde. Se reposer émotionnellement, c’est ne plus jouer un rôle pendant un moment, poser les masques, ne pas devoir “gérer” ce qu’on ressent — simplement laisser exister.

Et si vous changiez de façon de vous reposer ?

Dans nos sociétés hyperconnectées et performantes, le repos est souvent vu comme une faiblesse. Ou comme un “temps mort” à optimiser. Mais il peut être réparateur, intelligent, précieux… à condition de ne pas se résumer à « dormir plus ».
Voici quelques pistes concrètes à expérimenter :
Créer des temps vides dans la journée, sans écrans ni sollicitations (même 5 minutes).
Respirer consciemment, sans chercher à “faire bien”, juste pour habiter à nouveau son corps.
Marcher sans objectif, juste pour le plaisir du mouvement et des sensations.
Écrire ce qui vous traverse, même sans structure, sans filtre.
Laisser sortir ce qui pèse.
Ce sont de petits gestes, mais ils ont un impact profond lorsqu’ils sont faits avec présence.

La sophrologie, un appui pour se reconnecter à un vrai repos

La sophrologie agit à la croisée de ces trois dimensions du repos : physique, mentale, émotionnelle. Elle ne cherche pas à fuir la réalité, mais à créer un espace où l’on peut souffler, sans avoir à performer. Durant une séance, vous êtes toujours guidé(e) pour : vous poser physiquement, en sécurité, ramener votre attention vers la respiration, les sensations, le vécu du moment, relâcher progressivement ce qui peut l’être.
Au fil des pratiques d’un suivi individuel ou collectif, vous apprenez à reconnaître vos propres signaux de fatigue, à doser votre énergie, à redonner à votre repos une vraie valeur, en dehors des heures de sommeil.
Vous avez une question sur la sophrologie ? Vous souhaitez en savoir plus sur les modalités d’un accompagnement sophrologique personnalisé ? Contactez-moi, je serai ravie de pouvoir vous aider. Vous pouvez également planifier votre premier rendez-vous téléphonique.

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